L'Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim) et nombre de sociétés de gestion ont souhaité apporter un nouveau cadre aux SCPI et OPCI grand public. Résultat de cette réflexion, une segmentation du marché devrait s'opérer selon sept typologies prépondérantes d'investissement.
Mais la diversification croissante vers de nouvelles typologies d'actifs force aussi les sociétés de gestion à faire bouger les lignes sur leur classification. De nouvelles thématiques telles que l'hôtellerie, la santé, l'éducation, la logistique et le résidentiel gérés, ont pris une part croissante dans l'univers d'investissement des fonds.
Dans le détail, on retrouvera classiquement le segment des bureaux, des commerces, du résidentiel, de la logistique et local d'activité, de l'hôtellerie, du tourisme et loisirs, de la santé et éducation (dont Ehpad, centres de santé, écoles et crèches) et enfin les SCPI dites « alternatives ». Pour ces dernières, on y retrouvera notamment les infrastructures.
Par ailleurs, de nouveaux seuils doivent définir les SCPI « diversifiées ». Ainsi, une stratégie immobilière d'un fonds d'investissement pourra être qualifiée de diversifiée dès l'instant où le fonds cible a au moins 3 typologies d'actifs différentes, sans qu'aucune ne dépasse 50% de l'allocation totale en valeur.
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