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Qu'est-ce que le coliving ?

Cette page répond notamment aux questions suivantes :
Qu'est-ce que le coliving ?
Le coliving, comment ça marche ?
Comment fonctionne le coliving ?

Principe du coliving

Le coliving est un concept d’habitat partagé, comprenant des espaces de vie commune et des espaces privatifs pour les locataires.

Né aux Etats-Unis dans les années 2000, le coliving tend à se développer dans toutes les métropoles mondiales, et est présent en France depuis 2017.

Concrètement, le coliving consiste à proposer à la location, pour une durée comprise généralement entre 1 mois et 1 an, un espace personnel (chambre, salle de bain), et des espaces communs (cuisine, séjour, salon, extérieur, salle de sport, …). L’objectif est de permettre à chaque locataire de combiner indépendance, et vie en communauté. Ce vivre ensemble entraine la mutualisation de plusieurs services entre les différents locataires, tels que le Wi-Fi, des abonnements télévisuels, des prestations de ménages …

Le coliving s’inscrit comme étant une habitation transitoire, répondant à des préoccupations tant professionnelles (étudiants, professionnels en mission ponctuelle dans une ville, …) que personnelles (jeunes retraités, divorcés, …).

Le coliving, un concept attractif entre la colocation et l’hôtel

Le coliving est généralement présenté comme étant un mode d’habitation entre la colocation et l’hôtel.

Il tient à la colocation par son mode de vie collectif, et le partage de lieux communs. Cependant, la colocation est généralement proposée pour un nombre restreint de personnes (entre 2 et 5 co-locataires), alors que le coliving peut regrouper plus d’une dizaine de co-habitants. Juridiquement, la colocation relève de la loi n°89-462 du 6 juillet 1989, alors que le coliving n’a pas encore de statut juridique particulier, en droit français. Il en résulte que la colocation est régie par des baux classiques, alors que le coliving se fonde généralement sur des contrats innomés (dits aussi, des contrats sui generis), c’est-à-dire qui ne sont pas expressément prévus par le législateur français. Cette différence contractuelle découle du fait que le coliving ne propose généralement pas une résidence principale au locataire, au regard de la loi de juillet 1989.

Le coliving offre de nombreux services, similaires aux prestations offertes par un établissement hôtelier (Wi-Fi, prestations de ménages, fourniture de linges …), tout en ayant une durée d’occupation allongée (quelques mois), et une vie collective avec l’accès à des pièces de vie commune.


Pourquoi investir en coliving ?

L’attrait pour ce type de location réside dans la flexibilité recherchée par les locataires, qui trouvent dans le coliving, une habitation temporaire conviviale, de qualité, et toute équipée. Le coût de la location pour les locataires reste généralement plus accessible qu’une petite surface en location meublée.

Aussi, pour le propriétaire, l’investissement en coliving permet de mutualiser les coûts de fonctionnement, et d’avoir une pluralité de locataires, permettant de jouer sur cet effet de mutualisation. Également, le coliving ne semble pas compris dans le champ d’application du plafonnement des loyers mis en place à Paris, Lille et son agglomération, sur le fondement de la loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique.


Fiscalité du coliving

Le coliving répond à la définition de la location meublée, consistant à louer un bien garni d’un mobilier suffisant pour qu’un locataire puisse entrer dans les lieux et y vivre normalement avec ses seuls effets personnels. S’il s’agit d’une activité civile d’un point de vue juridique, la location meublée est considérée d’un point de vue fiscal comme une activité commerciale, d’où l’imposition des revenus perçus dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (« BIC »).

Selon le montant des recettes annuelles perçues, le loueur en meublé sera imposé :

  • Au régime « micro-BIC », permettant alors de bénéficier d’un abattement forfaitaire sur les recettes de 50% et, d’obligations comptables et fiscales réduites,
  • Au régime « réel », offrant la possibilité de déduire des recettes, l’amortissement du bien, des frais d’acquisition (s’ils sont immobilisés), du mobilier et des travaux non déductibles, les intérêts d’emprunt, ou encore les travaux d’entretien et de réparation courants.







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